“These works will strive to elevate those aspects of female experiences so often left out of the construction of femininity, including, power, strength, violence, sexuality, and autonomy. A new definition of womanhood into
which I, a queer female artist, can t without having to practice the ritual excisions and sacrifices of those parts
of myself deemed unacceptable. Through my own struggles with depression, history and identity, I’ve come
to a place where I’ve been able to find a beauty in the pain, and permanence to my acceptance and resilience. This is what is at the heart of Untold Stories I Once Wished Lost, that two such opposing feelings can be held simultaneously as truth.” -Anna Williams
L’exposition solo par Anna Williams « Histoires cachées que je souhaitais autrefois perdues » sera exposée á la galerie du marché By de l’École d’art d’Ottawa, située au 35, rue George, du 5 janvier au 7 février 2021. Le vernissage virtuel pour cette exposition aura lieu le jeudi 14 janvier 2021 á 19h00 sur la chaîne YouTube ÉAO, pour célébrer le travail exceptionnel d’Anna. Cette premiére vidéo présentera une visite de l’exposition et un entretien avec l’artiste.
«Ces œuvres s’efforceront d’élever les aspects des expériences féminines si souvent laissés de côté dans la construction de la féminité, notamment le pouvoir, la force, la violence, la sexualité et l’autonomie. Cette nouvelle dénition de la féminité en est une à laquelle je peux m’identier, en tant que femme artiste queer, sans avoir à pratiquer les excisions et les sacrices rituels de ces parties de moi-même qui sont jugées inacceptables. Après avoir affronté la dépression, une histoire familiale difcile et un questionnement identitaire, je suis arrivée à un point où j’ai pu trouver une beauté dans la douleur et une permanence à mon acceptation et à ma résilience. C’est ce qui est au cœur de Untold Stories I Once Wished Lost (« Histoires cachées que je souhaitais autrefois perdues ») : le fait que deux sentiments si opposés peuvent être considérés simultanément comme vrais». -Anna Willams